L’adoption de l’agriculture durable préserve les ressources naturelles , maintien la biodiversité, Maintien des paysages agricole et agro-pastoraux et aussi la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Une première en Tunisie : un centre de compétence destinés aux professionnels du lait va être crée à Thibar (Gouvernorat de Beja).
La charte a été signée par le Ministère de l’Agriculture en juillet 2020.

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Préservation des ressources naturelles et maintien de la biodiversité

 

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L’agriculture durable a un impact positif sur l’environnement et les ressources naturelles : elle utilise en général 30 % moins d’énergie (souvent fossile) par unité de récolte par rapport à l’agriculture conventionnelle (résultant en moins d’émission de produits chimiques et pollution dans l’environnement) ; elle maintien la qualité de sols, appui la réduction de l’érosion et de la dégradation de sols, et favorise la conservation de l’eau.

L’agriculture durable, à travers l’application des bonnes pratiques, augmente aussi la biodiversité et favorise des écosystèmes sains et la gestion durable des ressources naturelles, tout en garantissant une sécurité alimentaire. La production agricole et alimentaire dépend de la biodiversité mais elle peut aussi l’appauvrir pour augmenter les quantités d’aliments produites. L’agriculture durable permet d’accroître les activités agricoles pour augmenter les quantités d’aliments produits sans bouleverser l’interdépendance entre les organismes vivants. L’agriculture durable évite les monocultures et favorise la polyculture et l’élevage extensif et intégré. La protection de la biodiversité d’une exploitation agricole passe aussi par l’aménagement de réserves favorables au développement des espèces que l’on souhaite favoriser et par la connexion de ces îlots pour favoriser leur alimentation et leur reproduction. Une autre dimension de l’aménagement d’une exploitation agricole en faveur de la biodiversité est de permettre aux espèces animales (insectes, oiseaux etc.) de passer facilement d’un biotope à l’autre.

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Maintien des paysages agricole et agro-pastoraux

 

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L’agriculture durable a un impact positif sur l’environnement et les ressources naturelles : elle utilise en général 30 % moins d’énergie (souvent fossile) par unité de récolte par rapport à l’agriculture conventionnelle (résultant en moins d’émission de produits chimiques et pollution dans l’environnement) ; elle maintien la qualité de sols, appui la réduction de l’érosion et de la dégradation de sols, et favorise la conservation de l’eau.

L’agriculture durable, à travers l’application des bonnes pratiques, augmente aussi la biodiversité et favorise des écosystèmes sains et la gestion durable des ressources naturelles, tout en garantissant une sécurité alimentaire. La production agricole et alimentaire dépend de la biodiversité mais elle peut aussi l’appauvrir pour augmenter les quantités d’aliments produites. L’agriculture durable permet d’accroître les activités agricoles pour augmenter les quantités d’aliments produits sans bouleverser l’interdépendance entre les organismes vivants. L’agriculture durable évite les monocultures et favorise la polyculture et l’élevage extensif et intégré. La protection de la biodiversité d’une exploitation agricole passe aussi par l’aménagement de réserves favorables au développement des espèces que l’on souhaite favoriser et par la connexion de ces îlots pour favoriser leur alimentation et leur reproduction. Une autre dimension de l’aménagement d’une exploitation agricole en faveur de la biodiversité est de permettre aux espèces animales (insectes, oiseaux etc.) de passer facilement d’un biotope à l’autre.

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Réduction des émissions de gaz à effet de serre

 

 

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L’agriculture durable favorise des bonnes pratiques reconnues par leur potentiel de réduction de gaz à effet de serre (GES). L’introduction de légumineuses dans les rotations est un levier efficace de réduction des émissions de gaz à effet de serre. La fixation symbiotique constitue ainsi le seul levier pour accroître le taux d’azote dans les sols. Aussi, l’amélioration de l’alimentation animale est de nature à réduire la fermentation entérique.